Damien Bachmann clarinette
Estelle Revaz violoncelle
Christian Chamorel piano
Ludwig van Beethoven
Trio pour clarinette, violoncelle & piano, op. 11
Pablo de Sarasate
Carmen Fantaisie pour clarinette & piano
Joachim Stoutchevski
Fantaisie hassidique pour clarinette, violoncelle & piano
Entracte
Félix Mendelssohn
Rondo Capriccioso pour piano solo, op. 14
David Popper
Rapsodie hongroise pour violoncelle & piano, op. 68
Johannes Brahms
Trio pour clarinette, violoncelle & piano, op. 114
Max Bruch
Mélodie roumaine – Trio pour clarinette, violoncelle & piano, op. 83
Benjamin Levy direction
Judith van Wanroij soprano
Julian Prégardien ténor
Stephan MacLeod basse
Joseph Haydn
Die Jahreszeiten
Trois ans après Die Schöpfung que Gli Angeli Genève proposait en clôture du festival en 2022, c’est l’autre grand oratorio de Joseph Haydn qui est mis à l’honneur en 2025. Le baron van Swieten, qui avait déjà traduit en allemand pour Haydn le livret anglais de La Création proposa de son propre chef au compositeur son arrangement de The Seasons de l’Écossais James Thomson. Ce long ouvrage en vers alors très en vogue en Angleterre, qui chante le cycle de la nature et la vie des campagnards, ne plut pas tout de suite au compositeur, qui, cherchant à s’inscrire dans la tradition haendelienne de l’oratorio britannique, n’apprécia pas un sujet qui n’avait rien de religieux. Heureusement qu’il persévéra, au prix de querelles assez retentissantes avec son librettiste d’ailleurs, car ces Saisons forment un collier splendide de perles délicates et humbles qu’enfilera pour nous le très fin chef Benjamin Levy, aux commandes de Gli Angeli Genève à cette occasion. Benjamin Levy n’est pas qu’un excellent chef d’orchestre, il est aussi un hédoniste, que la musique de Haydn rend heureux. La perspective de son travail avec notre orchestre, notre chœur, et les solistes Judith van Wanroij, Julian Prégardien et Stephan MacLeod est déjà une promesse tenue.
Le concert sera présenté par Philippe Albèra à 19h15.
Grigory Sokolov piano
William Byrd
John come kiss me now
The first pavan. The galliard to the first pavan
Fantasia
Alman
Pavan: The Earl of Salisbury. Galliard. Second galliard
Callino casturame
Johannes Brahms
4 Ballades, op. 10
2 Rhapsodies, op. 79
Ferran Gili-Millera direction
Julius Meister
General Dufour Marsch
James Barnes
Capriccio, op. 170
Joaquin Rodrigo (arr. Kevin Bolton)
Concerto d’Aranjuez, 2. Adagio
Guiseppe Verdi (arr. Franco Cesarini)
La forza del destino, ouverture
Michael Geisler
Voice of the Vikings
Rossano Galante
Land of the Healing Waters
Andrew Lloyd Webber (arr. Johan de Meij)
The Phantom of the Opera
Patrick Doyle (arr. Philip Sparke)
Brave
Jay Bocook (arr.)
The Blues Brothers Revue
Jim Jacobs (arr. John Moss)
Grease
Lucie Leguay direction
Bogdan Zvoristeanu violon
Sandra Albukrek création visuelle
Antonio Vivaldi
Les Quatre Saisons
Le mythe, la légende… 300 ans exactement après leur publication, ces quatre concertos pour violon continuent de fasciner les oreilles du monde entier. Portés par le premier violon solo de l’OSR Bogdan Zvoristeanu et accompagnés par la cheffe Lucie Leguay, «La primavera», «L’estate», «L’autunno» et «L’inverno» seront illustrés par l’univers coloré et fantastique de l’artiste Sandra Albukrek.
Alexis Kossenko direction
Lucile Richardot alto
Julien Dran ténor
Edwin Fardini baryton
Stephan MacLeod basse
Felix Mendelssohn
Die erste Walpurgisnacht, op. 60
Concerto pour violon et orchestre en mi mineur, op. 64
Goethe décrit dans sa ballade Die erste Walpurgisnacht comment le peuple, empêché par le clergé de célébrer le rite païen du 1er mai, décide de jouer un tour aux chrétiens et de les terroriser en se déguisant et en convoquant une armée de pseudo-sorcières et de faux démons. Imaginez seulement ce qui peut arriver lorsqu’un virtuose de l’orchestre comme Mendelssohn décide de mettre en musique une telle nuit de Sabbat! Il fait surgir une véhémente tempête en guise d’ouverture, puis des êtres malicieux, féeriques ou maléfiques semblent sortir par tous les pores de la musique. Ils sont là, ça frétille, ça s’agite, ça ricane, ça bout, et tout d’un coup ça explose dans un gigantesque sabbat qui fait perdre tous ses repères à l’auditeur, littéralement étourdi par le tourbillon des sorcières!
Le Concerto pour violon de Mendelssohn, contemporain de sa grande cantate, en sera le miroir, pour un programme aussi rare qu’alléchant.
Alexis Kossenko, complice de longue date de Gli Angeli, ami cher et musicien merveilleux, vient à Genève à la tête de ses Ambassadeurs – La Grande Écurie et du Chœur de Chambre de Namur pour un concert qui fait déjà date, de par son merveilleux programme, et parce qu’il s’inscrit dans l’Intégrale Mendelssohn déjà historique dans laquelle le chef et son orchestre se sont récemment lancés.
Le concert sera présenté par M. Philippe Albèra à 16h15.
Les Solistes de Beyrouth ensemble vocal
Fernando Afara direction
Carine Séchaye mezzo-soprano
Yves Lafargue orgue (organiste titulaire à la Basilique Notre-Dame de Fourvière, Lyon)
Première partie
Francis Poulenc
Litanies à la Vierge noire
Georges Bizet
Des extraits de Carmen (150 ans)
- «Habanera»
- «Près des remparts de Séville»
- «Air de Micaëla»
- «Marche et chœur»
- «Les tringles»
Pietro Mascagni
«Regina Coeli» de Cavalleria Rusticana
Giuseppe Verdi
Chœur des esclaves de Nabucco
Deuxième partie
Musique libanaise
Anohni, artiste à la voix bouleversante, fusionne pop, électro et engagement politique pour créer une œuvre à la fois intime et universelle, où chaque note résonne comme un cri du cœur.
Anohni explore un univers musical où la pop, l’électro et l’expérimental se mêlent à une voix profonde et vibrante. Portée par une sensibilité à fleur de peau, elle aborde des thèmes engagés comme l’écologie, le genre ou la justice sociale, transformant chaque chanson en un manifeste poignant. Son art, entre mélancolie et révolte, bouleverse et questionne, offrant une expérience sonore unique et viscérale.
Portes à 19h.
Début à 20h.
Seiji Ozawa International Academy Switzerland
Kazuki Yamada direction
Raphaël Merlin direction
Matthias Goerne baryton
Franz Schubert
Der Tod und das Mädchen, D. 531
Der Jüngling und der Tod, D. 545
Erlkönig, D. 328
Symphonie n° 4, «Tragique», D. 417
Gustav Mahler
Kindertotenlieder
Thème obsessionnel chez Schubert, épisode irréparable dans la vie de Gustav et Alma Mahler: lorsque la mort d’un enfant frappe une famille, lorsque des émotions aussi violentes déferlent dans le cœur des parents, la musique ne peut pas consoler, elle est pure révolte.
L’OCG juxtapose La Jeune Fille et la Mort, Le Jeune Homme et la Mort et Le Roi des Aulnes à la Symphonie n° 4 «Tragique» de Schubert, auxquels font écho les Chants sur la mort des enfants de Mahler. La forêt où a lieu la chevauchée-poursuite contre la grande faucheuse abrite son inéluctable victoire: depuis des millénaires, elle est le lieu de tous les dangers.
«La perte d’un enfant est contre-nature: Schubert, à l’orée du romantisme allemand, et Mahler, à son crépuscule, laissent un cri géant contre cette anomalie du destin. Qui de mieux que le magnétique baryton Matthias Goerne, mondialement demandé, pour livrer ces sommets du drame avec force et justesse?» – Raphaël Merlin
Devenez abonné·e·s de L’OCG avec notre offre de 9, 6 ou 3 concerts de saison. Faites votre choix sur: https://locg.ch/fr/billetterie-abonnements
Knut Andreas chef d’orchestre et modérateur
Antonio Palanović violon soliste
Georges Bizet
Carmen Suite n° 1
Carmen Suite n° 2: Habanera
Gerónimo Giménez
La Boda de Luis Alonso
Manuel de Falla
El amor brujo, «Danza ritual del fuego»
Pablo de Sarasate
Airs bohémiens pour violon et orchestre, op. 20
Entracte
Johann Strauss
Marche espagnole
Nikolaï Rimski-Korsakov
Capriccio espagnol, op. 34
Maurice Ravel
Boléro
Passion espagnole et rythmes enflammés – la Sinfonia Leipzig, sous la direction de Knut Andreas, présente un voyage musical à travers la musique classique espagnole, fougueux, coloré et plein d’émotions, couronné par le Boléro de Ravel.
Outre les danses entraînantes de l’opéra Carmen de Georges Bizet, on pourra entendre l’ouverture de zarzuela pleine de tempérament de Gerónimo Giménez, La Boda de Luis Alonso. De même, la «Danza ritual del fuego» tirée de El amor brujo de Manuel de Falla transportera le public dans le monde mystique du folklore espagnol.
Les légendaires airs tziganes de Pablo de Sarasate, dont les passages virtuoses au violon suscitent toujours l’enthousiasme, constitueront un autre point fort.
En deuxième partie, le Boléro de Maurice Ravel, mondialement connu, dont le rythme hypnotique et l’intensité croissante mettront le public en transe.
Un orchestre de premier ordre, dirigé par Knut Andreas, fera résonner ce programme plein de suspense.
Maurice Ravel – l’un des principaux représentants de l’impressionnisme français – a écrit cette célèbre pièce orchestrale sur commande pour la danseuse française Ida Lwowna Rubinstein. Le Boléro séduit par son art de la simplicité et joue – comme le compositeur lui-même l’a dit un jour – sur un seul élément de variation: le crescendo de l’orchestre, qui gagne en volume au fil des 15 minutes de l’œuvre. La pièce a été jouée pour la première fois avec un groupe de danseurs. Avec sa méthode de composition peu conventionnelle pour l’époque, Ravel a ouvert la voie aux mouvements d’avant-garde ultérieurs dans le domaine de la musique.
Rudolf Buchbinder piano
Wolfgang Amadeus Mozart
Variations sur le thème « Ah, vous dirai-je, Maman! », K. 265
Ludwig van Beethoven
Sonate pour piano n° 23 en fa mineur, op. 57, «Appassionata »
Franz Schubert
Sonate pour piano en si bémol majeur, op. posth., D. 960
Les Grandes Voix du Fado présentent: Sara Correia en concert exceptionnel
Une voix puissante. Une présence magnétique. Une âme façonnée par le fado.
Le Victoria Hall accueillera l’une des artistes les plus emblématiques de la nouvelle génération du fado: Sara Correia. Dans le cadre prestigieux de la série Les Grandes Voix du Fado, cette soirée s’annonce comme un hommage vibrant à l’héritage du fado portugais, porté par une voix contemporaine au rayonnement international.
🎙 L’héritière naturelle du fado
«Une voix qui rappelle que le fado traditionnel est toujours bien vivant» – Songlines
Sara Correia chante comme on respire: avec une sincérité organique, instinctive. Née à Lisbonne dans une famille de fadistes, elle grandit dans les maisons de fado, entourée de figures légendaires telles que Celeste Rodrigues, Maria da Nazaré ou encore Jorge Fernando, auprès desquels elle apprend l’art de l’interprétation avec une intensité rare. À seulement 13 ans, elle remporte la Grande Noite do Fado à Lisbonne – un tournant décisif dans sa vie artistique.
🌍 Une carrière marquée par l’excellence
Avec trois albums salués par la critique – Sara Correia (2018), Do Coração (2021) et Liberdade (2023) –, elle s’impose comme une ambassadrice du fado moderne, fidèle à la tradition mais profondément ancrée dans son époque. Sa voix chaude et grave, entre alto et contralto, traverse les générations et les frontières.
Sara a conquis les scènes du monde entier: de l’Elbphilharmonie de Hambourg à la Cadogan Hall de Londres (complet en février 2024), en passant par les Coliseus de Lisbonne et Porto, où elle affiche sold out plusieurs soirs d’affilée. En mai 2025, elle se produira aux Folies Bergère à Paris, avant de présenter son nouvel album en mars 2026 à la MEO Arena de Lisbonne.
🏆 Récompenses et reconnaissance internationale
🥇 PLAY – Portuguese Music Awards: Meilleur Album de Fado (Do Coração, 2021)
🎤 Nomination Latin Grammy: Meilleur Album de racines en langue portugaise (Do Coração, 2021)
🏆 Nominations 2025: Meilleur Album (Liberdade) et Meilleure Artiste Féminine
En plus de ces distinctions, Sara est également coach dans l’émission The Voice Portugal depuis 2023, renforçant ainsi sa place centrale dans la culture musicale portugaise contemporaine.
💿 Liberdade: un album manifeste
Sorti en 2023, Liberdade incarne pleinement la vision artistique de Sara. Ce troisième album, réalisé en collaboration avec Diogo Clemente, mêle fados traditionnels et compositions modernes signées notamment par Pedro Abrunhosa, Carminho, Tiago Bettencourt ou Carolina Deslandes.
Avec Liberdade, Sara explore ses racines tout en affirmant sa liberté artistique, dans une écriture musicale riche, ouverte et toujours habitée. Des titres comme «Chelas», «Madrugou» ou encore «Balada Do Outono» (reprise magistrale de Zeca Afonso) témoignent de cette authenticité vibrante et de cette capacité à faire vivre le fado aujourd’hui, ici et maintenant.
✨ Une soirée unique au Victoria Hall
Le 22 octobre 2025, Genève vibrera au son du fado incarné avec passion par Sara Correia. Le cadre majestueux du Victoria Hall offrira un écrin idéal à cette voix intense et sincère, porteuse de saudade et d’espérance.
Ce concert s’inscrit dans la série Les Grandes Voix du Fado, qui met à l’honneur les artistes les plus marquants du genre, alliant patrimoine musical et prestige scénique.
The Untouchables
The Good, the Bad & the Ugly
Cinema Paradiso
Titanic
Ben-Hur
The Godfather
Casablanca
Jurassic Park
Gladiator
The Lord of the Rings
The Mission
For a Few Dollars More
Gone with the Wind
The Great Escape
Once Upon a Time in America
Once Upon a Time in the West
Rabbia e Tarantella
Conan the Barbarian
Rocky
Star Wars